Lors de son intervention devant le comité parlementaire, le PDG d’Ageing Better, Dr Carole Easton OBE, a souligné la nécessité d’un commissaire pour les personnes âgées doté de pouvoirs appropriés. Elle a argumenté que pour que ce poste soit véritablement efficace, il doit avoir la capacité d’agir de manière significative dans l’élaboration des politiques. Ses remarques mettent en lumière des enjeux cruciaux liés à l’autonomie et aux droits des personnes âgées, ainsi qu’à la lutte contre les inégalités qui les affectent.
Lors d’une récente audition devant le comité parlementaire sur les droits des femmes et de l’égalité, le PDG d’Ageing Better, Dr Carole Easton OBE, a souligné l’importance cruciale d’un commissaire aux personnes âgées doté de pouvoirs suffisants pour agir en tant que défenseur efficace des droits des seniors. Elle a insisté sur la nécessité de lui permettre d’enquêter et d’exiger des réponses de la part des autorités, afin de s’assurer que les besoins de la population vieillissante soient correctement intégrés dans les politiques publiques. Dr Easton a également appelé à la mise en place d’une véritable stratégie visant à combattre les discriminations liées à l’âge et à lutter contre les inégalités économiques auxquelles font face les personnes âgées.
les pouvoirs nécessaires pour le commissaire aux personnes âgées
Le discours prononcé par le PDG d’Ageing Better, Dr Carole Easton, devant le comité parlementaire souligne l’importance des pouvoirs adéquats pour le commissaire aux personnes âgées. Elle a exprimé que, sans ces pouvoirs, l’efficacité de ce rôle serait compromise. Un commissaire ne peut pas être véritablement un champion des personnes âgées s’il n’est pas capable d’exiger des comptes des décideurs et de recueillir les données nécessaires. Dr Easton soutient que des pouvoirs significatifs sont indispensables pour initier des investigations sur toute forme de discrimination ou abus qui pourraient affecter la population vieillissante.
la nécessité d’une enquête sérieuse
Au cours de son intervention, Dr Easton a fait observer que le commissaire devrait être en mesure de mener des enquêtes formelles sur des préoccupations spécifiques. Cela inclut des sujets tels que les inégalités de santé et les discriminations liées à l’âge dans le milieu professionnel. Selon elle, le fait d’inclure des enquêtes de classe permettrait de faire la lumière sur les abus systématiques, contribuant à une meilleure prise de conscience et une réponse politique plus appropriée aux besoins de la population âgée.
mettre en avant les voix des personnes âgées
La création de ce rôle est soutenue par des rapports récents qui mettent en avant la nécessité d’entendre les voix des personnes âgées. Une commission dotée de véritables pouvoirs serait non seulement un pas vers le changement, mais aussi un moyen d’améliorer la qualité de vie des anciens. Dr Easton a déclaré : « Pour faire face aux défis comme la pauvreté des retraités, il est crucial que les décideurs puissent comprendre les véritables conséquences de leurs choix sur cette population. ». Elle conclut que la mise en place de ce type de commissaire est une base nécessaire pour garantir un avenir meilleur aux personnes vieillissantes.
Le pouvoir du commissaire aux personnes âgées : une nécessité urgente
Lors de sa présentation devant le comité parlementaire, le PDG d’Ageing Better a souligné l’importance d’accorder au commissaire aux personnes âgées des pouvoirs adéquats afin de défendre les droits et les intérêts des personnes âgées en Angleterre. Sa proposition insiste sur le fait que sans cette capacité, le commissaire ne pourrait pas jouer pleinement son rôle de défenseur des séniors dans une société où les défis sont de plus en plus complexes.
Le PDG a évoqué l’urgence d’établir un cadre de politiques spécifiques qui tiennent compte des besoins croissants de la population vieillissante. En effet, avec le flamboiement des inégalités liées à la santé et à l’accès au bien-être pour les personnes âgées, le commissaire doit avoir les ressources pour mener des enquêtes et insister sur la nécessité de changements. L’existence d’un rôle de commissaire investi de pouvoirs substantiels permettrait de mieux répondre à ces enjeux et de garantir que les voix des aînés soient entendues dans les décisions politiques.
Le rapport mis en avant par le PDG a également mis en lumière les nombreux défis, allant de l’âgisme dans le milieu de travail à la pauvreté des retraités, qui nécessitent une attention significative. Des cas de discrimination et de négligence sont souvent signalés, mais trop peu d’actions concrètes sont prises. Un commissaire doté de pouvoirs suffisants serait une bouée de sauvetage pour les victimes de telles injustices, leur offrant ainsi un recours.
Alors que notre société continue d’évoluer, il est impératif de veiller à ce que les personnes âgées aient un représentant capable de lutter pour leurs droits et d’apporter des améliorations substantives à leur qualité de vie. L’établissement d’un commissaire aux personnes âgées, bien au-delà des mots, pourrait devenir un catalyseur pour des réformes essentielles, permettant ainsi aux citoyens d’accéder à une vie épanouissante, même dans leurs années d’âge avancé.
